Ma vie à cache-cache (mars 2008)
de Patricia Dacosse et Catherine Ronvaux

Synopsis :

Dans une entreprise où tout va mal, les secrets se révèlent, les bons sentiments se dévoilent, les méchants deviennent des héros et les gentils des vautours…
On ne peut pas dire que la société Sopigéco soit un modèle d’ambiance chaleureuse. Un décor morose, une chef de service inhumaine et intraitable, des employés timorés et sournois, des cancans, une antipathie palpable entre tous ces travailleurs qui n’ont rien à se dire…
Rien à se dire ? Vraiment ?
Ces hommes et ces femmes sont-ils réellement ce qu’ils semblent être ? Les apparences sont-elles aussi trompeuses qu’on le dit ?
Sur des airs connus, des chorégraphies de derrière les fagots, ça swingue et ça déménage. La société Sopigéco se fait son nettoyage de printemps avec la fièvre du samedi soir !

Patricia Dacosse et Catherine Ronvaux se sont, cette fois, installées derrière leurs claviers respectifs pour écrire, en duo, une histoire double, une partie de cache-cache à une seule voix.
Le travail d’écriture terminé, Catherine a enfilé son tailleur de business women froide et calculatrice pour monter sur scène, tandis que Patricia coiffait sa casquette de metteur en scène et s’appliquait à mettre en trois dimensions, ce qu’elles avaient couché sur le papier de leurs imprimantes. 
Portée par le succès des parties chantées et chorégraphiées de ses précédents spectacles, la Compagnie du Comble a fait ici le grand saut. Elle a proposé, cette année, une comédie musicale, une histoire avec des chansons, des danses, une ou deux romances, des gentils, des méchants, une belle fin, en tout, une heure quarante de spectacle dont presque une heure en musique.
Pour varier les plaisirs, des chansons de tous genres, du répertoire des années 30 au rap, ont été malaxées, adaptées, transformées, détournées, re-mixées pour coller à la peau des personnages mystérieux de « Ma vie à cache-cache ». Servies par d’autres larynx et d’autres cordes vocales, des tubes comme « C’est la Ouate », « Jailhouse Rock », « Money, Money » prennent une tout autre teinte et nous racontent d’autres sentiments, d’autres vices, d’autres vies…